La joie même qui naît de la vertu, quoique étant un bien, ne fait point partie du bien absolu ; non plus que le calme et la sérénité, quelque beaux qu’en soient les motifs.
La joie même qui naît de la vertu, quoique étant un bien, ne fait point partie du bien absolu ; non plus que le calme et la sérénité, quelque beaux qu’en soient les motifs.
auteur antique : Sénèque