Elle oublie sa tristesse, pour un moment. Cette tristesse des femmes seules, qu’on suppose courageuses parce qu’elles ne se plaignent pas, mais qui saute aux yeux de quelque jeune inconnu, parfois, au beau milieu d’une foule.
Elle oublie sa tristesse, pour un moment. Cette tristesse des femmes seules, qu’on suppose courageuses parce qu’elles ne se plaignent pas, mais qui saute aux yeux de quelque jeune inconnu, parfois, au beau milieu d’une foule. Philippe Besson