Le troisième jour, Johanna ne reparut plus au chevet de la malade à qui Bénédicte se chargea de faire avaler des remèdes et de remettre entre les doigts le rosaire qu’elle laissait sans cesse tomber. Bénédicte aimait sa mère, ou plutôt ne savait pas qu’elle pût ne pas l’aimer.
Le troisième jour, Johanna ne reparut plus au chevet de la malade à qui Bénédicte se chargea de faire avaler des remèdes et de remettre entre les doigts le rosaire qu’elle laissait sans cesse tomber. Bénédicte aimait sa mère, ou plutôt ne savait pas qu’elle pût ne pas l’aimer. Marguerite Yourcenar