L’homme qui chemine vers la vertu, quels que soient déjà ses progrès, a besoin de quelque indulgence de la Fortune, lui qui lutte encore dans l’embarras des choses-humaines, tant qu’il n’a pas délié ce nud et rompu tout lien mortel.
L’homme qui chemine vers la vertu, quels que soient déjà ses progrès, a besoin de quelque indulgence de la Fortune, lui qui lutte encore dans l’embarras des choses-humaines, tant qu’il n’a pas délié ce nud et rompu tout lien mortel.
auteur antique : Sénèque