Rien ne préserve mieux de ces orages de l’âme que de fixer toujours quelque limite à son élévation et, au lieu d’attendre que la Fortune nous quitte à sa fantaisie, de s’exhorter soi-même au repos bien en deçà du dernier terme.
Rien ne préserve mieux de ces orages de l’âme que de fixer toujours quelque limite à son élévation et, au lieu d’attendre que la Fortune nous quitte à sa fantaisie, de s’exhorter soi-même au repos bien en deçà du dernier terme.
auteur antique : Sénèque