Et, en réalité, par les nuits d’encre comme celle-ci, jamais coupe-gorge n’avait déroulé un décor plus tragique. Pas une âme, pas un passant un silence, une ombre, un vide, qui s’étendaient à droite, à gauche, en face.
Et, en réalité, par les nuits d’encre comme celle-ci, jamais coupe-gorge n’avait déroulé un décor plus tragique. Pas une âme, pas un passant un silence, une ombre, un vide, qui s’étendaient à droite, à gauche, en face. Émile Zola