Je t’ai parlé comme je le fais sans cesse lorsque je me perds dans le paysage, et que ton absence, ou ta présence obscure, inavouée ? rayonne soudain comme une coulée de lumière blessante. Oui, comme un poignard de lumière.
Je t’ai parlé comme je le fais sans cesse lorsque je me perds dans le paysage, et que ton absence, ou ta présence obscure, inavouée ? rayonne soudain comme une coulée de lumière blessante. Oui, comme un poignard de lumière. Jean-Claude Pirotte