Il faut que des nuits se dressent partout dans le monde pour endiguer la montée des terreurs. Pour que l’humain compte enfin. Et la jeunesse, débordante d’envies démocratiques. Et la vraie philosophie, amoureuse des places publiques, allergique aux salons.
Il faut que des nuits se dressent partout dans le monde pour endiguer la montée des terreurs. Pour que l’humain compte enfin. Et la jeunesse, débordante d’envies démocratiques. Et la vraie philosophie, amoureuse des places publiques, allergique aux salons. Vincent Cespedes