Ce qui rend si pénible aux femmes la marche du temps, c’est leur miroir ; peu savent l’envisager de sang-froid.
Ce qui rend si pénible aux femmes la marche du temps, c’est leur miroir ; peu savent l’envisager de sang-froid. Goswin de Stassart
Ce qui rend si pénible aux femmes la marche du temps, c’est leur miroir ; peu savent l’envisager de sang-froid. Goswin de Stassart