C’est là, dans le va-et-vient des jours et le fouillis des non-dits, que la vie perd le sens des choses profondes et se réfugie dans le superficiel et le faux-semblant.
C’est là, dans le va-et-vient des jours et le fouillis des non-dits, que la vie perd le sens des choses profondes et se réfugie dans le superficiel et le faux-semblant. Boualem Sansal