Ce n’est point pour elle-même qu’il faut fuir l’intempérance ; il faut prendre le parti de la tempérance, non parce qu’elle est l’ennemie des voluptés, mais parce qu’elle nous ménage les plus solides de toutes les jouissances.
Ce n’est point pour elle-même qu’il faut fuir l’intempérance ; il faut prendre le parti de la tempérance, non parce qu’elle est l’ennemie des voluptés, mais parce qu’elle nous ménage les plus solides de toutes les jouissances.
auteur antique : Cicéron