S’embarquer dans la tristesse, c’est comme de se laisser glisser en patins à roulettes le long d’une pente : impossible de prévoir combien de temps durera la descente, mais on sait parfaitement que tout s’arrêtera d’un seul coup.
S’embarquer dans la tristesse, c’est comme de se laisser glisser en patins à roulettes le long d’une pente : impossible de prévoir combien de temps durera la descente, mais on sait parfaitement que tout s’arrêtera d’un seul coup. Lucia Etxebarria