Le Moi et le Mien forment la dualité. C’est seulement parce qu’il y a un moi qu’il y a un mien. Sans moi, il n’y a pas de mien, voilà un accès au réel dans la non dualité.
Le Moi et le Mien forment la dualité. C’est seulement parce qu’il y a un moi qu’il y a un mien. Sans moi, il n’y a pas de mien, voilà un accès au réel dans la non dualité. Gardien des vertus
Bonjour,
En parcourant votre blog qui est très bien réalisé, j’ai pensé que le document dont le lien est indiqué ci-dessous pourrait vous intéresser ou rendre service à des personnes de votre entourage.
En espérant vous lire bientôt sur : chavance4@yahoo.fr je vous adresse mes meilleures pensées et salutations.
Gérard Duruz
http://sd-2.archive-host.com/membres/up/995101490…
Je viens de lire votre document , un petit résumé des domaines traités.
1. J’existe donc je suis, c’est ma seule certitude !
2. Je regarde ma vie, je la vois ! J’en deviens le spectateur. Je me vois regardant.
3. Mon existence, en tant que personne, s’est construite à mon insu en me laissant croire que je prenais des décisions.
4. Je réalise aujourd’hui que ma seule liberté fut d’accepter les circonstances qui ont construit ma vie.
5. Je commence maintenant à percevoir un sentiment de confiance en la Vie qui m’anime et anime toutes choses.
6. J’accepte la soumission de mon ego et je redécouvre l’humilité ainsi qu’une forme très subtile de passivité.
7. L’action cesse momentanément d’avoir de l’importance et mon intellect peut retrouver le repos, son bavardage bruyant peut devenir « murmure » et s’estomper, et s’évanouir.
8. Mon esprit s’éveille, il se prépare au dialogue et je me prépare à l’écoute. .Je prends conscience que mon espace intérieur se dilate et je constate qu’un sentiment de paix et de joie émerge, je suis la Vie, le sourire de la Vie.
9. Je me souviens maintenant d’avoir été embauché par la Vie, désormais, je suis serviteur.
10. Le succès n’est pas le mien, j’assiste simplement au succès de la Vie en moi.
11. Mes ambitions n’ont plus aucune importance mais si elles se réalisent, tant mieux.
12. J’accepterai alors avec joie les fruits que ce succès m’accordera en l’absence totale de toute exigence de ma part. Mais ce sera toujours le succès de la Vie, pas le mien.
13. Le plus grand cadeau que je me prépare à accepter est la Joie de pouvoir pleinement participer à la Joie de la Vie en tant que source première de toute existence.
14. Cette joie de vivre pourra alors s’épanouir en moi et autour de moi, comme un don qui passe à travers moi, véritable louange à la Vie, en toute spontanéité.
15. Je suis la Vie !