Ma vie ne me plaisait pas. Les nuits continuaient à être claires et diaphanes, mais moi je commençais à cesser d’être une orpheline et à m’avancer dans un territoire encore plus précaire (page 35).
Ma vie ne me plaisait pas. Les nuits continuaient à être claires et diaphanes, mais moi je commençais à cesser d’être une orpheline et à m’avancer dans un territoire encore plus précaire (page 35). Roberto Bolaño