A force de foi,de méditation,de jeûne,de solitude,il m’a semblé qu’un chemin s’était ouvert dans l’obscurité,chemin qu’empruntait la cohorte des morts et à leur suite,j’ai touché l’autre rive.
A force de foi,de méditation,de jeûne,de solitude,il m’a semblé qu’un chemin s’était ouvert dans l’obscurité,chemin qu’empruntait la cohorte des morts et à leur suite,j’ai touché l’autre rive. Carole Martinez