L’amour rend faible, et le plus faible des deux est opprimé, torturé et finalement tué par l’autre, qui de son côté opprime, torture et tue sans penser à mal, sans même en éprouver de plaisir, avec un complète indifférence ; voilà ce que les hommes, ordinairement, appellent l’amour.
L’amour rend faible, et le plus faible des deux est opprimé, torturé et finalement tué par l’autre, qui de son côté opprime, torture et tue sans penser à mal, sans même en éprouver de plaisir, avec un complète indifférence ; voilà ce que les hommes, ordinairement, appellent l’amour. Michel Houellebecq