J’aime la bicyclette pour l’oubli qu’elle donne. J’ai beau marcher, je pense. A bicyclette, je vais dans le vent, je ne pense plus, et rien n’est d’un aussi délicieux repos.
J’aime la bicyclette pour l’oubli qu’elle donne. J’ai beau marcher, je pense. A bicyclette, je vais dans le vent, je ne pense plus, et rien n’est d’un aussi délicieux repos. Émile Zola