Je me dis que pour prétendre partager une tronche de vie à deux, il faut cesser de croire et de faire croire qu’on entre dans une histoire qui compte. Si l’on n’est pas vraiment prêt à donner, on ne touche pas au bonheur du bout des doigts.
Je me dis que pour prétendre partager une tronche de vie à deux, il faut cesser de croire et de faire croire qu’on entre dans une histoire qui compte. Si l’on n’est pas vraiment prêt à donner, on ne touche pas au bonheur du bout des doigts. Marc Levy