Je n’oublierai jamais les derniers mots de Matabei : « Ecoute le vent qui souffle. On peut passer sa vie à l’entendre en ignorant tout de mouvements de l’air ».
Je n’oublierai jamais les derniers mots de Matabei : « Ecoute le vent qui souffle. On peut passer sa vie à l’entendre en ignorant tout de mouvements de l’air ». Hubert Haddad