Jamais dans vingt-cinq ans, je n’aurai pu imaginer que les disgraciées de la nature, les malades, les trop vieilles, les exclues elles aussi puissent oser aimer.
Jamais dans vingt-cinq ans, je n’aurai pu imaginer que les disgraciées de la nature, les malades, les trop vieilles, les exclues elles aussi puissent oser aimer. Stefan Zweig