Souvent je regrette qu’on ne puisse pas effacer les mots dans l’air, comme sur un papier, qu’il n’existe pas un stylo spécial qu’on agiterait au dessus de soi pour retrancher les paroles maladroites avant qu’elles puissent être entendues.
Souvent je regrette qu’on ne puisse pas effacer les mots dans l’air, comme sur un papier, qu’il n’existe pas un stylo spécial qu’on agiterait au dessus de soi pour retrancher les paroles maladroites avant qu’elles puissent être entendues. Delphine de Vigan