Le dédain de l’argent est fréquent surtout chez ceux qui n’en ont pas. Disons les choses comme elles sont : il est agréable d’en avoir, pour les commodités qu’il procure, d’abord, et plus encore pour l’impression de sécurité qu’il dégage et qui tranquillise.Et je crois bien que l’inexplicable Avarice rencontre son explication dans le développement poussé à l’excès de ce sentiment de bien-être.
Le dédain de l’argent est fréquent surtout chez ceux qui n’en ont pas. Disons les choses comme elles sont : il est agréable d’en avoir, pour les commodités qu’il procure, d’abord, et plus encore pour l’impression de sécurité qu’il dégage et qui tranquillise.
Et je crois bien que l’inexplicable Avarice rencontre son explication dans le développement poussé à l’excès de ce sentiment de bien-être. Georges Courteline