Mais, habitué à lire dans son visage comme dans un livre ouvert, j’étais sûr d’une chose : ce jour-là un dieu clément avait mis un baume sur les rides et les plis de son cœur.
Mais, habitué à lire dans son visage comme dans un livre ouvert, j’étais sûr d’une chose : ce jour-là un dieu clément avait mis un baume sur les rides et les plis de son cœur. Stefan Zweig