Pour un instant, je me suis imaginé que le paysage qui nous entourait était un décor, qu’on était des acteurs dans le plus grand film de l’univers, que l’univers lui-même était artificiel et qu’on ne pouvait se fier à rien ni à personne.
Pour un instant, je me suis imaginé que le paysage qui nous entourait était un décor, qu’on était des acteurs dans le plus grand film de l’univers, que l’univers lui-même était artificiel et qu’on ne pouvait se fier à rien ni à personne. Yann Apperry