Ta dictée n’a ni achèvement ni fin. Souchetée seulement d’absences, de volets arrachés, de pures inactions. Juxtapose à la fatalité la résistance à la fatalité. Tu connaîtras d’étranges hauteurs.
Ta dictée n’a ni achèvement ni fin. Souchetée seulement d’absences, de volets arrachés, de pures inactions. Juxtapose à la fatalité la résistance à la fatalité. Tu connaîtras d’étranges hauteurs. René Char