Pour t’écrire, je m’adresse à tout le monde. L’amour est le cycle de la parole. Je t’écris infiniment et j’invente sans cesse le cantique que j’ai lu dans tes yeux ;par mes mots, je pose mes lèvres sur la chair brûlante de mon pays et je t’aime désespérément comme au jour de notre première communion.
Pour t’écrire, je m’adresse à tout le monde. L’amour est le cycle de la parole. Je t’écris infiniment et j’invente sans cesse le cantique que j’ai lu dans tes yeux ;par mes mots, je pose mes lèvres sur la chair brûlante de mon pays et je t’aime désespérément comme au jour de notre première communion. Hubert Aquin