L’odeur de M. L qui imprégnait ma peau se mêlait à l’air vif qui emplissait mes poumons. Est-ce la misère ou la grandeur de l’homme qu’il puisse mettre en balance tout le malheur du monde et le souvenir d’une nuit d’amour ?
L’odeur de M. L qui imprégnait ma peau se mêlait à l’air vif qui emplissait mes poumons. Est-ce la misère ou la grandeur de l’homme qu’il puisse mettre en balance tout le malheur du monde et le souvenir d’une nuit d’amour ? Raymond Abellio