Il y avait entre eux un espace commun dont les confins n’était pas bien tracés, où rien ne semblait manquer et où l’air paraissait inerte, tranquille.
Il y avait entre eux un espace commun dont les confins n’était pas bien tracés, où rien ne semblait manquer et où l’air paraissait inerte, tranquille. Paolo Giordano