Ils ne devaient jamais se recevoir l’un chez l’autre. […] La presse, la télévision, le pays entier les comparaient sans cesse, les opposaient. Eux se coudoyaient sur le bitume. Il y avait la France de Jacques Anquetil et la France de Raymond Poulidor. & ;#8201 ; Et là cette phrase, attention, écoute bien c’est là& ;#8201 ; : & ;#8201 ;On ne savait pas que c’était la même.
Ils ne devaient jamais se recevoir l’un chez l’autre. […] La presse, la télévision, le pays entier les comparaient sans cesse, les opposaient. Eux se coudoyaient sur le bitume. Il y avait la France de Jacques Anquetil et la France de Raymond Poulidor. & ;#8201 ; Et là cette phrase, attention, écoute bien c’est là& ;#8201 ; : & ;#8201 ;On ne savait pas que c’était la même. Philippe Delerm