Les bêtes qui descendent des faubourgs en feu, Les oiseaux qui secouent leurs plumes meurtrières, Les terribles ciels jaunes tout nus Ont, en toute saison, fêté cette statue.
Les bêtes qui descendent des faubourgs en feu, Les oiseaux qui secouent leurs plumes meurtrières, Les terribles ciels jaunes tout nus Ont, en toute saison, fêté cette statue. Paul Éluard