Pour les quartiers noirs déshérités de Baltimore, la présence de la fine fleur des gardiens de la paix ne fut, pendant des générations, qu’un fléau parmi d’autres : la pauvreté, l’ignorance, le désespoir, la police.
Pour les quartiers noirs déshérités de Baltimore, la présence de la fine fleur des gardiens de la paix ne fut, pendant des générations, qu’un fléau parmi d’autres : la pauvreté, l’ignorance, le désespoir, la police. David Simon