La tisane bout, noyant mon feu Le vent s’époumonne A reverdir la bûche où mon grand cœur tisonne. Est-il de vrais yeux ? Nulle ne songe à m’aimer un peu.
La tisane bout, noyant mon feu Le vent s’époumonne A reverdir la bûche où mon grand cœur tisonne. Est-il de vrais yeux ? Nulle ne songe à m’aimer un peu. Jules Laforgue