Car la beauté reste. Pour peu que nous la reconnaissions, elle est notre éternité. Le dépassement de notre condition mortelle est dans l’art, la fabuleuse variété, la dépense inouïe des civilisations.
Car la beauté reste. Pour peu que nous la reconnaissions, elle est notre éternité. Le dépassement de notre condition mortelle est dans l’art, la fabuleuse variété, la dépense inouïe des civilisations. Anne-Marie Garat