Sans cette flamme intérieure qui le brûle et le dépasse – qu’elle s’applique à une croyance, à une patrie, à un amour ou à un métier – l’homme n’est qu’une mécanique indigne ou désespérée.
Sans cette flamme intérieure qui le brûle et le dépasse – qu’elle s’applique à une croyance, à une patrie, à un amour ou à un métier – l’homme n’est qu’une mécanique indigne ou désespérée. Joseph Kessel