La tête de Cottard, décollée souverainement par la lame du katana, alla rouler sur le pavé du trottoir, jusque dans la lumière. Non, je n’avais pas songé lui trancher le cou, mais seulement que mon geste tire dans l’espace le trait d’acier d’une calligraphie négative.
La tête de Cottard, décollée souverainement par la lame du katana, alla rouler sur le pavé du trottoir, jusque dans la lumière. Non, je n’avais pas songé lui trancher le cou, mais seulement que mon geste tire dans l’espace le trait d’acier d’une calligraphie négative. Anne F. Garréta