A proprement parler, il n’y a plus de police, plus de crimes anciens ou nouveaux, plus de coupables, il n’y a que des condamnés qui attendent la plus arbitraire des grâces, et, parmi eux, les policiers eux-mêmes.
A proprement parler, il n’y a plus de police, plus de crimes anciens ou nouveaux, plus de coupables, il n’y a que des condamnés qui attendent la plus arbitraire des grâces, et, parmi eux, les policiers eux-mêmes. Albert Camus