Luis Sepulveda
Bordel, c’était l’heure de la retraite, mais je ne serai pas un de ces retraités qui tuent leur ennui dans les parcs à nourrir des rêves en déroute et ces abominables rats ailés qu’on appelle des pigeons.
Bordel, c’était l’heure de la retraite, mais je ne serai pas un de ces retraités qui tuent leur ennui dans les parcs à nourrir des rêves en déroute et ces abominables rats ailés qu’on appelle des pigeons.