J’ai eu des amours à tous crins, qui reniflaient dans mon coeur comme des cavales dans les prés. J’en ai eu d’enroulés sur eux-mêmes, de glacés et de longs comme des serpents qui digèrent. J’ai eu plus de concupiscence que je n’ai de cheveux perdus.
J’ai eu des amours à tous crins, qui reniflaient dans mon coeur comme des cavales dans les prés. J’en ai eu d’enroulés sur eux-mêmes, de glacés et de longs comme des serpents qui digèrent. J’ai eu plus de concupiscence que je n’ai de cheveux perdus. Gustave Flaubert