Anton Ehrenzweig
L’œuvre prend une vie propre, ne laissant à son créateur que l’alternative du rejet ou de l’acceptation. Se révèle alors une mystérieuse présence qui donne à l’œuvre sa propre personnalité vivante.
L’œuvre prend une vie propre, ne laissant à son créateur que l’alternative du rejet ou de l’acceptation. Se révèle alors une mystérieuse présence qui donne à l’œuvre sa propre personnalité vivante.