Lionel Davoust
Il suffirait d’un ordre d’un côté ou de l’autre pour que tout bascule, et l’on passerait de simples inconnus à celui d’ennemis. Mais on se contente d’attendre.
Il suffirait d’un ordre d’un côté ou de l’autre pour que tout bascule, et l’on passerait de simples inconnus à celui d’ennemis. Mais on se contente d’attendre.