Vincent Cespedes
Le fameux “monde d’après”. Non pas celui de l’écologie et de la justice sociale, mais un monde où il fait relativement bon vivre à condition de demander, à chaque fois que le démon de la liberté nous taraude, la permission.
Le fameux “monde d’après”. Non pas celui de l’écologie et de la justice sociale, mais un monde où il fait relativement bon vivre à condition de demander, à chaque fois que le démon de la liberté nous taraude, la permission.