Joelle Laurencin
Même s’il m’était possible de me consoler dans les bras d’une autre, elle ne te remplacerait pas et laisserait un goût amer sur mes lèvres. Car vois-tu, tu as ta sensibilité brut, et douce, qui me touche en plein cœur. Tu as ce côté sauvage et indomptable, qui me fait vriller. Tu as ce côté, je vous emmerde et je le revendique, qui fait jaillir mes tripes. Tu as ce côté que tu ne montres jamais à personne, mais que je perçois. Car vois-tu, tout ce que tu es, et que tu me dissimules, je le connais déjà. Cela ne me fait pas peur, car je t’aime, pour tout ce que tu représentes.