Joëlle Laurencin
La tendresse, ne trouve pas toujours ses actes de noblesse, avec les mots que l’on peut y apporter. Le silence en est la preuve par évidence. Il s’agit là, de laisser la bouche fermer, et de respirer à plein poumon, les notes de musique, qui en découle. Il s’agit là, de fermer les yeux, afin d’en ressentir sa constance. Il s’agit là, d’un parfum d’âme à âme, d’un murmure, de cœur à cœur. D’une profonde unité, qui ne peut se prononcer à travers les lèvres, mais qui se ressent infiniment, de part la résonance, émanant de son centre.