Joëlle Laurencin
Il se dit, que lorsque la nuit cède au jour, les soucis viennent s’immerger dans notre esprit. Une farandole vient alors s’aventurer à l’intérieur de nous-mêmes, sans nous laisser le moindre répit. Plus on tente de la chasser et moins elle s’évapore. Mais si l’on tente de l’apprivoiser, elle se radoucit et disparaît à l’horizon. L’importance que l’on y accorde est ce à quoi il faut songer afin d’en être débarrassé. N’y faisons pas attention, et elle se dispersera. Donnons-lui du pouvoir et elle ne cessera jamais de nous emprisonner.