Joëlle Laurencin
Je refuse d’administrer à mon corps un produit illusoire incapable de me protéger et qui me rendrai malade. Si je dois me passer de cinéma, de restaurant, de voyage en avion, de me rendre dans les centres commerciaux afin de revendiquer ma liberté, je le ferai sans hésitation. Je n’ai pas besoin de tout cela pour vivre une existence épanouie. Si j’ai envie de visionné un film, je le regarderai chez moi. Si j’ai envie de confectionné un délicieux repas, je ferai appel aux petits commerces et le dégusterai chez moi. Si j’ai envie de voyager, je me débrouillerai comme je l’ai toujours fait. Je visiterai la France qui regorge de beauté. Que ce soit à pied ou en rampant, je fais le choix de ne dépendre que de moi-même pour me déplacer. Je fais le choix de mon bien-être et de celui des miens. Je fais le choix de mon âme et de mon cœur qui n’appartiennent qu’à moi. Je me refuse à obtempérer face à des situations ou des choses qui vont à l’encontre de mon bien-être. Je n’ai pas besoin de vous pour obtenir ce que je souhaite et où je souhaite aller. C’est vous qui avez besoin de mon argent. Je ne vous le donne pas, je garde mon blé, et le dépenserai là où la fraternité existe encore. Là où mon intégrité ne sera pas souillé. Je n’ai pas besoin de vous pour exister, c’est vous qui avez besoin de moi. Je ne vous donne aucun droit sur moi-même ni sur les miens. Ce choix ne vous appartient pas, il est propre à moi-même ainsi qu’à mes proches. C’est vous qui perdrez, je suis gagnant, car je choisis de vivre comme je l’entends en chaque instant, comme je l’ai toujours fait. Vivre et non survivre. Mon choix est vite fait. Je choisis de vivre en toute conscience et balance vos restrictions avec une pensée d’amour que rien ne peut ébranler.