Julie Otsuka
Loin de la ferme, disait-on, où que l’on aille, on demeurait toujours un étranger, et si on se trompait de bus, on risquait de ne plus jamais rentrer chez toi.
Loin de la ferme, disait-on, où que l’on aille, on demeurait toujours un étranger, et si on se trompait de bus, on risquait de ne plus jamais rentrer chez toi.