Sand
Mon petit corps souple et chaud, vous ne vous étendrez plus sur moi, comme Elisée sur l’enfant mort, pour me ranimer. (…) Adieu mes cheveux blonds, adieu mes blanches épaules, adieu tout ce que j’aimais, tout ce qui était à moi. J’embrasserai maintenant dans mes nuits ardentes le tronc des sapins et les rochers dans les forêts en criant votre nom, et, quand j’aurai rêvé le plaisir, je tomberai évanouie sur la terre humide.