Paul Masson
L’humanité se sert volontiers de chevaux pour régler ses comptes avec les grands hommes. Toutefois, si elle en consacre six à traîner en triomphe ses fléaux, elle n’en délègue avarement que quatre pour écarteler ses bienfaiteurs.
L’humanité se sert volontiers de chevaux pour régler ses comptes avec les grands hommes. Toutefois, si elle en consacre six à traîner en triomphe ses fléaux, elle n’en délègue avarement que quatre pour écarteler ses bienfaiteurs.