Kazuo Ishiguro
N’est-il pas consolant – voire, profondément satisfaisant – de pouvoir se dire, en repensant à sa propre vie, que si l’on a échoué, c’est uniquement là où les autres n’ont pas eu le courage ou la volonté de tenter ?
N’est-il pas consolant – voire, profondément satisfaisant – de pouvoir se dire, en repensant à sa propre vie, que si l’on a échoué, c’est uniquement là où les autres n’ont pas eu le courage ou la volonté de tenter ?