Jean-Jacques Rousseau
Ainsi donc, c’est bien moins de la sensualité que de la vanité qu’il faut préserver un jeune homme entrant dans le monde : il cède plus aux penchants d’autrui qu’aux siens, et l’amour-propre fait plus de libertins que l’amour.
Ainsi donc, c’est bien moins de la sensualité que de la vanité qu’il faut préserver un jeune homme entrant dans le monde : il cède plus aux penchants d’autrui qu’aux siens, et l’amour-propre fait plus de libertins que l’amour.